Description
Caractéristiques
(Soléra depuis 2018) en blanc est élaboré à partir de leur unique parcelle de Gros Manseng.
Cette jeune vigne est plantée d’un cépage non autorisé en AOP Bergerac, mais présente depuis longtemps dans le Sud Ouest et en particulier dans la région de Jurançon et d’Irouléguy. Avec le réchauffement climatique et devant les difficultés récurrentes à garder de la fraîcheur dans leurs vins blancs, ils ont tenté l’implantation d’un cépage plus méridional, assez tardif, qui garde une fraîcheur intense.
Ils ont pris récemment l’option d’une soléra qui démarre avec les millésimes 2018-2019 et 2020.
Actuellement en cours d’élevage en Foudre Stockinger et en amphore de 10hl…
Le parti pris est de rechercher le maximum de complexité tant à travers l’assemblage de plusieurs millésimes qu’à travers la diversité des modes d’élevage mis en œuvre pour réaliser un grand vin blanc. C’est complexe, riche, puissant, frais et long en bouche. Des notes de fruits exotiques, d’abricot, de fleur…u
Soléra 2018- 2019-2020-2021-2022
Terroir argilo-calcaire profond sur socle de calcaires de Castillon.
Vinification : naturelle, pas de soufre ajouté
Mis en bouteille : décembre 2023
Dégustation : un « grand » vin blanc du sud Ouest ? Ce cépage tardif, se retrouve en limite septentrionale sur un terroir « frais » et lui confère un style plus « nordique ». Aromatique sur les fruits exotiques et l’ananas, très belle fraîcheur en bouche, finale saline et minérale. 15 grammes de sucres résiduels
14 % Alc.Vol.
Le domaine est une très ancienne propriété viticole, qui date du 16ème siècle et dont on retrouve la trace écrite dans la première édition du Ferret de 1903.
En 2000, année de notre acquisition, elle comptait 12 hectares de vignes – exclusivement de cépages rouges – plantés à la densité de 5000 pieds/ha.
Aujourd’hui, nous travaillons 12 hectares de rouge et 7 de blanc que nous avons acquis, loués ou plantés depuis 2004.
Les terroirs
Les terroirs et l’encépagement : et l’encépagement : et l’encépagement :
D’une façon globale, les blancs, issus de Sauvignon et de Sémillon, sont plantés sur des sols plus profonds et plus froids, plutôt argilo-limoneux ou parfois des argilo-calcaires disséminés sur le plateau proche de Vélines.
Les rouges sont plantés sur des sols très calcaires ( blancs ) qui donnent leur nom au lieu-dit et de ce fait, au domaine : Le Jonc Blanc. On y trouve quatre unités de sols différents, bien qu’assez proches. Dans l’ensemble le terroir se caractérise par un sol superficiel et pauvre, appelé rendosol rendosol rendosol. Sa nature et son origine calcaire lui confèrent le qualificatif de rendosol calcique calcique calcique.
La partie sur le calcaire dit « de Castillon » ( calcaire lacustre blanc assez dur ) est plantée de 2 hectares de Cabernet Sauvignon et de 4,45 ha de Merlot.
Le coteau argilo-calcaire qui donne des vins structurés, plus classiques est planté d’une parcelle de 3 ha de Cabernet qui donne la Sauvageonne et participe à l’assemblage de Les Sens du Fruit.
La petite zone de marnes à ostréa marnes à ostréa marnes à ostréa – entre les deux dalles de calcaire – est plantée de 80 ares de Merlot Noir ( 0,80 ha ), et donne des vins avec une forte minéralité et des sensations crayeuses en bouche .
Le Malbec ( 1,40 ha ) est réservé au sommet de croupe, planté sur des calcaires » à astéries » calcaires » à astéries » calcaires » à astéries » – calcaire marin de l’Oligocène inférieur ( – 30 millions d’années ) et donne également des vins très « tendus ».
Culture et vinification
Culture et vinification: Tout d’abord ne pas gagner ne pas gagner ne pas gagner, ensuite produire autrement. produire autrement. produire autrement. La recherche d’un équilibre naturel vivant, donc dynamique est ici notre objectif premier. L’usage des produits chimiques, engrais et pesticides de synthèse est donc proscrit. Nous privilégions des pratiques « naturelles » telles que les inter-cultures de céréales, engrais verts et bandes fleuries qui attirent et nourrissent des insectes « auxiliaires » qui régulent les « ravageurs » et évitent ainsi les traitements.
L’usage de teintures mères de plantes en pulvérisation, associées à du cuivre et du soufre si nécessaire, a pour objectif de renforcer les défenses de la vigne et de la protéger des attaques fongiques.
Par ailleurs l’usage des préparats biodynamiques tels qu’enseignés par Steiner en 1924, apporte à nos vignes le lien indispensable avec les forces « éthériques et astrales » qui nous entourent.
Dans la lignée de ces pratiques naturelles, au chai, nous privilégions la non intervention et l’absence de « technologie » et d’intrants oenologiques. Levures indigènes, peu de soufre, pas d’intrants et le minimum d’interventions : tel est notre credo. Dans la mesure du possible, pas de collage, pas de filtration, peu de soutirages et le minimum de soufre juste avant la mise en bouteille.
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